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Préoccupations

PNA (Procréation Naturellement Assistée)

PNA (Procréation Naturellement Assistée)

PNA (Procréation Naturellement Assistée) : une approche douce et personnalisée de la fertilité Dans un monde où les parcours de procréation médicalement assistée (PMA) sont souvent synonymes de protocoles lourds et techniques, une autre voie émerge : celle de la procréation naturellement assistée.  Cette approche vise à accompagner les couples vers une conception naturelle, en optimisant leur fertilité sans recourir immédiatement aux techniques complexes comme la FIV.   Comprendre la subfertilité : un diagnostic précis avant tout Avant de proposer un traitement, il est essentiel d’identifier les causes d’une fertilité réduite.  Cela passe par : Un bilan hormonal et métabolique (thyroïde, homocystéine, vitamines…) Des analyses infectieuses (vaginose, spermoculture…) Une évaluation du mode de vie (tabac, alcool, stress, alimentation, sport…) L’objectif est de repérer les déséquilibres simples qui peuvent freiner la conception, et de les corriger avant d’envisager des traitements plus complexes.   Optimiser la fertilité naturelle La procréation naturellement assistée repose sur plusieurs piliers : Stimulation ovarienne douce pour favoriser une ovulation de qualité Amélioration du sperme par des traitements ciblés en cas d’infection ou de carences Rééquilibrage du microbiote vaginal et utérin, dont l’impact sur la fertilité est de plus en plus reconnu Soutien de la phase lutéale avec un apport hormonal si nécessaire Chaque étape est personnalisée, en fonction du profil du couple et de ses besoins spécifiques. Se repérer dans le cycle : une clé essentielle Identifier la période fertile est fondamental. Des outils simples comme les tests urinaires (LH, E3G, PdG) ou salivaires permettent de repérer l’ovulation avec précision. Cela permet de programmer les rapports au moment le plus propice, augmentant ainsi les chances de conception.   Hygiène de vie et environnement : des leviers puissants Le mode de vie joue un rôle majeur dans la fertilité.  L’approche prônée vise à une prise en charge globale de la santé du couple : Une alimentation équilibrée et une correction des carences alimentaires La réduction des toxiques environnementaux (perturbateurs endocriniens, plastiques…) Une activité physique modérée Une gestion du stress et de la libido Un accompagnement pluridisciplinaire : nutritionniste, psychologue, sexologue, dentiste… Quand aller plus loin : les explorations complémentaires En cas d’échecs répétés ou d’infertilité inexpliquée, des examens plus poussés peuvent être proposés comme la biopsie endométriale pour explorer la fenêtre d’implantation, l’immunité locale ou le microbiote utérin.   En résumé → Aller vers une médecine de la fertilité plus humaine La procréation naturellement assistée ne rejette pas les techniques classiques de PMA, mais elle propose une alternative plus douce, plus respectueuse du corps et du rythme du couple.  Elle redonne du sens à l’accompagnement médical en plaçant l’humain au cœur du processus.

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Nutrition

Nutrition

Pour quelles raisons la nutrition est essentielle dans la fertilité ? La nutrition joue un rôle primordial dans la fertilité tant chez l’homme que chez la femme. Ce que nous mangeons influence directement nos hormones, notre ovulation, la qualité ovocytaire et spermatique.  Une alimentation adaptée peut donc favoriser naturellement la conception, qu’elle soit spontanée ou accompagnée via la PMA.  Pour soutenir la fertilité, il est essentiel : de stabiliser la glycémie et d’améliorer la sensibilité à l’insuline (notamment dans le cadre de SOPK) de réduire l’inflammation chronique et le stress oxydatif  de soutenir le foie et la détox hormonale  de combler les carences nutritionnelles    Quels sont les aliments à privilégier pour améliorer sa fertilité ? Les aliments à privilégier  les légumes verts et colorés. Ils sont riches en folates, en antioxydants et en fibres. les protéines de qualité, comme les oeufs, la viande de boeuf, ou le poisson) les bonnes graisses riches en oméga 3 comme certaines huiles telles que les huiles de noix et les poissons gras. les glucides à IG (index glycémiques) bas    Voici un tableau de certaines aliments à IG bas :  Aliments  Index glycémique bas  Lentilles corail  26 Poire  33 Petits pois  41 Banane pas trop mûre 41 Pomme  44 Patate douce  46 Lentilles vertes  48 Les légumes Entre 26 et 50 Riz brun 50   Plusieurs vitamines et minéraux jouent un rôle direct dans l’ovulation, la qualité ovocytaire, la qualité spermatique et l’implantation embryonnaire comme :  les folates (appelés aussi “vitamine B9” ou “acide folique”) :  ils agissent sur l’ovulation, le développement embryonnaire, la réduction des risques de fausses couches et d’anomalie de fermeture du tube neural. la vitamine D :  elle impacte directement la régulation hormonale et améliore l’immunité.  le zinc : il améliore l’ovulation chez la femme et la spermatogenèse chez l’homme, c’est à dire l’ensemble des processus qui aboutissent à la formation des spermatozoïdes. le coenzyme Q10 :  il intervient sur la qualité du sperme.  l’iode :  cet oligo-élément impacte la fonction thyroïdienne qui est essentielle à la fertilité.    On essaye de limiter les aliments ultra transformés, les sucres raffinés (dont les boissons sucrées et sodas), les graisses trans et industrielles et la caféine en excès. D’autre part, il est essentiel d’éviter l’alcool, le tabac et les perturbateurs endocriniens que l’on retrouve dans les matières plastiques, les cosmétiques ou encore les pesticides).  Retrouvez notre article complet sur les perturbateurs endocriniens ici (lien) Une alimentation équilibrée et une supplémentation ciblée permet de créer un terrain hormonal favorable, d’optimiser la qualité ovocytaire et spermatique et d’améliorer ainsi les chances de grossesse naturelle ou assistée.   Retrouvez notre article complet sur les perturbateurs endocriniens  

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Préconception

Préconception

Complément alimentaire avant la grossesse : pour quelles raisons c’est important ?  Prendre des compléments alimentaires avant de tomber enceinte est désormais recommandé par la plupart des gynécologues et des sages-femmes en France pour préparer le corps à la grossesse et réduire les risques de malformations congénitales (anomalies du tube neural), de retard de croissance, voire de prématurité pour le futur bébé.  Notre alimentation est de plus en plus carencée en vitamines, minéraux et nutriments essentiels.  En péri-conception, les besoins de la femme augmentent et se supplémenter avec des vitamines de grossesse permet de :  Prévenir les carences avant la conception d’un enfant La grossesse nécessite d’avoir les nutriments essentiels et au bon dosage.  Avoir des réserves de vitamines et de minéraux en quantités suffisantes en péri-conception va aider le corps à démarrer la grossesse notamment l’implantation embryonnaire et le développement de l'embryon dans de bonnes conditions. Avoir le bon dosage en acide folique, la fameuse vitamine B9, car c’est une vitamine essentielle. L’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentaton, de l’Environnement et du Travail) recommande l’acide folique  (lien https://www.anses.fr/fr/system/files/NUT2023SA0019RA.pdf) au moins 1 mois avant la conception,afin d’optimiser le début de la grossesse avec des réserves en vitamine B9 optimales. La vitamine B9 aide à prévenir les malformations du tube neural (comme le spina bifida) chez le bébé. Il faut la prendre en péri-conception, car ces carences peuvent être délétères  pendant la folliculogénèse, c'est-à-dire, avant même le tout début de la grossesse. Avoir un stock suffisant en iode et vitamine D Certaines femmes ont des carences, souvent sans le savoir car rares sont les prises de sang effectuées pour certains minéraux et certaines vitamines.Les études montrent aujourd’hui que l’iode est essentielle pour le développement du cerveau du fœtus, tout comme la vitamine D pour les os du bébé et le système immunitaire. L’intérêt des antioxydants (Vitamine C, vitamine E, Zinc) Pour les femmes de plus de 35 ans voire même avant pour protéger les ovocytes du stress oxydatif, la supplémentation en antioxydants permet de soutenir l’implantation et le développement embryonnaire.  Recommandé par les professionnels Les gynécologues, les sages-femmes recommandent majoritairement des compléments pré-conceptionnels dès le désir de grossesse par connaissance de ces différentes carences.  Les besoins nutritionnels de la pré-conception à l’accouchement PRÉCONCEPTION PREMIER TRIMESTRE DE GROSSESSE DEUXIÈME TRIMESTRE DE GROSSESSE AVANT 35 ANS APRÈS 35 ANS Vitamine B9 Iode Vitamine D Vitamine B12 + Vitamine B6 Vitamine B9 Iode Vitamine D Vitamine B12 + Vitamine B6 Vitamine C Vitamine E Zinc Vitamine B9 Iode Vitamine D Vitamine B12 + Vitamine B6 Vitamine C Vitamine E Zinc Vitamine B9 Iode Fer Calcium Oméga 3 (DHA) Vitamine D Vitamine B12 + Vitamine B6 Vitamine C Vitamine E Zinc

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Qualité ovocytaire

Qualité ovocytaire

Comment définit-on une bonne qualité ovocytaire ? La qualité ovocytaire désigne la capacité d’un ovocyte (ou ovule) à être fécondé, à se diviser correctement et à donner un embryon viable. C’est l’un des facteurs clés de la fertilité féminine au même titre que l’ovulation ou la réserve ovarienne.  Un ovocyte de bonne qualité possède un matériel génétique intègre, une bonne fonction mitochondriale, un équilibre oxydatif optimal ce qui lui confère la capacité de développer en embryon sain.    La qualité ovocytaire dépend de plusieurs paramètres :  l’âge :  → La qualité ovocytaire diminue progressivement à partir de 35 ans. le stress oxydatif :  → Les radicaux libres endommagent l’ADN ovocytaire.  l’état inflammatoire chronique : → La présence de pathologie comme l’endométriose, le SOPK.. les troubles métaboliques :  → L’insulinorésistance (SOPK), les carences nutritionnelles. l’environnement  → L’exposition à des perturbateurs endocriniens, la pollution, la consommation de tabac, d’alcool, de drogues.. → La qualité du sommeil, du microbiote intestinal et la gestion du stress.  On ne peut pas créer de nouveaux ovocytes mais on peut améliorer leur développement pendant les 3 mois qui précèdent l’ovulation.  C’est durant cette phase de maturation folliculaire que les ovocytes sont les plus sensibles aux apports nutritionnels, hormonaux et environnementaux.    Comment peut-on améliorer la qualité ovocytaire ? Pour soutenir la qualité ovocytaires il existe plusieurs solutions :  une supplémentation en myo-inositol (pour l’équilibre hormonal), en Folates (avec de la vitamine B9 active!), en vitamine B12, en Zinc, en iode, en vitamine D et en antioxydants (telle que la vitamine E ou la vitamine C) la gestion du stress un sommeil réparateur une activité physique douce (yoga, pilates, marche, natation… ) une réduction de l’exposition aux toxiques (tabac, alcool, drogues…)

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